Fire and Water, this could describe well our 5th day at sea. On Thursday after contacting our weather man, I was ready to put two loaves of bread in the oven. We were motoring and the seas were calm enough to prepare bread. It was important to have bread today because sandwiches were our evening and night meals...it’s unbelievable how hungry we are when on night watch! Anyhow, 20 minutes or so after the loaves are in the hot oven, my eyes begin to tear and burn. Nothing seems wrong except the strong vapours...until I notice flames in the oven, rapidly growing! Heiner who is in the cockpit removes the fire extinguisher and one little spray takes care of the fire. But what a mess...the 20 second long fire has sent sooth everywhere and the smell is overpowering. I removed the bread dough from the pans and put it in a plastic container... and then, it’s cleaning time. In the mean time, the wind has come up and we can sail a bit.(We are concerned with our amount of fuel and must sail whenever there is wind). We put all sails up and sail on a close reach for a while (which makes cleaning the galley a little more demanding...) until Heiner notices a water spout under a dark cloud at our back. The water spout is creating a pretty powerful stir in the water that we can easily see from our position. We try to guess its movement...it seems to be getting closer to us and not wanting to take any chance, we lower all the sails. (Waterspout are like tornadoes at sea...you want to avoid being in one!). The following minutes are very stressful; we are finally relieved to see the thing vanish but we keep a watchful eye on this huge dark cloud which will stay behind us until sunset...while we know how strong the forces of nature are, in moment like this, we feel it even more. That evening, the skies cleared up and it was the greatest of nights with clear skies, millions of stars illuminating the indigo coloured skydome over us...I felt, for the first time in the entire passage, at peace enough to take out my MP3 and listen to music for hours. (Oh! I forgot: after Heiner repaired the leaky burner we baked the 2 loaves of bread successfully!) 
Le feu et l’eau! On avait déja gouté à l’Air...et en ce Vendredi on allait être en contact avec deux autres éléments! Comme on faisait du moteur, j’avais préparé mes deux miches de pain et j’étais tout heureuse de m’être prise de si bon matin, petite boulangère que je suis...Après 20 minutes de cuisson, mes yeux piquaient et brûlaient; tout semblait normal mais les sensations empiraient! Horreur: j’ouvre la porte du four pour constater que cà brule là-dedans et que le feu grossit. Je crie Au Feu (je garde mon originalité en tout temps) à Heiner qui est dans le cockpit et un petit coup d’extincteur chimique et le tout est sous contrôle! Mais quelle cochonnerie ce petit feu de 20 secondes a créé: de la suie partout! Et mes beaux pains? Je les enlève des formes et les remets ds un bac en plastique. Entretemps, le vent s’est levé un peu et nous devons mettre les voiles - bien que nous ayons beaucoup de diesel à bord, nous voulons le conserver au cas où... alors toutes voiles dehors même si le vent est dans le nez...çà rend le nettoyage un peu difficile!). Peu de temps après, Heiner apercoit une trombe marine à l’horizon, sous un immense nuage noir. La trombe marine: nous essayons de voir dans quelle direction elle se dirige...vers nous? Nous voyons l’eau blanche tourbilloner dessous et la peur nous prend: nous descendons toutes les voiles car on ne veut pas être pris dans une tornade, et encore moins avec toutes les voiles dehors!!! Quel soulagement lorsqu’elle disparaît! Nous restons vigilants pour le reste de l’après-midi car le nuage noir ne se dissipe qu’en début de soirée! Comme récompense, d’abord nous sommes en mesure de cuire ces deux miches de pain (!) et la nuit qui succédera à cette drôle de journée sera magnifique avec une voûte étoilée incomparable! Pour la première fois depuis le début du voyage, je me sens en paix et j’écoute ma musique sur mon MP3: Guelfucci, Vollenweider, tout va tellement bien avec cette atmosphère. J’écoute aussi MarieJo et la chanson Celle qui va, une chanson qui me donne du courage et de l’énergie...car le voyage est loin d’être terminé!
Le feu et l’eau! On avait déja gouté à l’Air...et en ce Vendredi on allait être en contact avec deux autres éléments! Comme on faisait du moteur, j’avais préparé mes deux miches de pain et j’étais tout heureuse de m’être prise de si bon matin, petite boulangère que je suis...Après 20 minutes de cuisson, mes yeux piquaient et brûlaient; tout semblait normal mais les sensations empiraient! Horreur: j’ouvre la porte du four pour constater que cà brule là-dedans et que le feu grossit. Je crie Au Feu (je garde mon originalité en tout temps) à Heiner qui est dans le cockpit et un petit coup d’extincteur chimique et le tout est sous contrôle! Mais quelle cochonnerie ce petit feu de 20 secondes a créé: de la suie partout! Et mes beaux pains? Je les enlève des formes et les remets ds un bac en plastique. Entretemps, le vent s’est levé un peu et nous devons mettre les voiles - bien que nous ayons beaucoup de diesel à bord, nous voulons le conserver au cas où... alors toutes voiles dehors même si le vent est dans le nez...çà rend le nettoyage un peu difficile!). Peu de temps après, Heiner apercoit une trombe marine à l’horizon, sous un immense nuage noir. La trombe marine: nous essayons de voir dans quelle direction elle se dirige...vers nous? Nous voyons l’eau blanche tourbilloner dessous et la peur nous prend: nous descendons toutes les voiles car on ne veut pas être pris dans une tornade, et encore moins avec toutes les voiles dehors!!! Quel soulagement lorsqu’elle disparaît! Nous restons vigilants pour le reste de l’après-midi car le nuage noir ne se dissipe qu’en début de soirée! Comme récompense, d’abord nous sommes en mesure de cuire ces deux miches de pain (!) et la nuit qui succédera à cette drôle de journée sera magnifique avec une voûte étoilée incomparable! Pour la première fois depuis le début du voyage, je me sens en paix et j’écoute ma musique sur mon MP3: Guelfucci, Vollenweider, tout va tellement bien avec cette atmosphère. J’écoute aussi MarieJo et la chanson Celle qui va, une chanson qui me donne du courage et de l’énergie...car le voyage est loin d’être terminé!
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